Au premier étage, dans
le local situé au fond d’un couloir, Joséphine Machalandi, enseignante du
programme depuis deux ans, pose des questions critiques : «Qu’est-ce qu’il
faut mettre sur l’affiche? Des mannequins? D’accord, et pourquoi?»
Au premier étage, dans
le local situé au fond d’un couloir, Joséphine Machalandi, enseignante du
programme depuis deux ans, pose des questions critiques : «Qu’est-ce qu’il
faut mettre sur l’affiche? Des mannequins? D’accord, et pourquoi?»