«Faire le standard, c’est impressionnant, mais se classer, c’est une autre chose», a averti leur entraineur Mark St-Omer, qui a lui-même atteint le niveau national lorsqu’il était à l’Université de Montréal.
En effet, même si l’an dernier William et Noah s’étaient qualifiés pour les championnats canadiens dans leur catégorie d’âge, ils doivent cette année atteindre de nouveaux standards, puis terminer parmi les premiers lors des prochaines compétitions à venir ce printemps.
À un cheveu
Pour l’instant, tant William que Noah se rapprochent des temps de référence (standards) qu’ils doivent atteindre pour se qualifier. William, dont la nage de prédilection est le dos, doit retrancher quelque trois secondes au chronomètre pour passer sous le standard du 200 mètres dos. Quant à Noah, spécialisé dans le crawl, il doit également être plus rapide de trois secondes sur la même distance.
Pour la petite histoire, les deux garçons sont les premiers nageurs du Club Orca à se qualifier pour les championnats canadiens depuis 1993. C’est signe que le Club Orca est en santé, doté d’un personnel d’entraineurs, de bénévoles et de parents dévoués.
