« C’était une très belle réussite », selon Mme Frenière, graphiste de formation, qui dit qu’elle a pu répondre aux questions des élèves et leur raconter son parcours, afin d’inspirer les jeunes talents à poursuivre leurs rêves.


« J’ai commencé à peindre en 2006, mais c’est vraiment en 2012 que tout a commencé à prendre forme que j’ai commencé à exposer un peu partout », a-t-elle raconté. La peintre est au stade où elle peut récolter les fruits de son travail ardu (le 40 heures/semaine de travail, elle ne connait pas cela; pour elle, c’est toujours 70 heures/semaine de travail). Maintenant, elle est en mesure de choisir d’exposer en solo ou en duo, dans des galeries à Montréal, à Ottawa, à Québec et petit à petit, à l’international.
« J’ai indiqué aux élèves du Sommet et de Nouvel Horizon que l’on peut vivre de l’art, a relaté celle qui a reçu le prix Femme de l’Année 2014, lors de sa rencontre avec les jeunes artistes. C’est vraiment qui tu rencontres, qui tu connais, ton réseau, qui, au fur et à mesure qu’il s’élargit, t’ouvre davantage de portes. »
De son côté, Mme Goulet, graveuse de formation, mais céramiste par inclination et aussi enseignante d’arts visuels, est responsable de la création du premier programme-cadre d’exposition artistique au secondaire, rédigé en français, dans la région d’Ottawa et d’Orléans.
En parlant de sa collaboration avec Mme Frenière, qui dure depuis 2018, elle révèle : « On a beaucoup de plaisir à exposer ensemble. »

