« Au départ, on a eu un évènement comme quoi un individu serait entré dans l’école avec une arme à feu et par la suite les messages ont été déformés et ont fait véhiculer des rumeurs, ce qui a augmenté le sentiment de stress ou d’angoisse des gens sans aucune raison », a commenté Marc Tessier, porte-parole de la Sûreté du Québec.