Réponse à la question de la qualité de l’eau

par Gregg Chamberlain - EAP
Réponse à la question de la qualité de l’eau
A Boil Water Advisory remains in effect until further notice for residents in West Hawkesbury on Laval Place, Maple Street, Ascension Street, Cedres Street, Orchard Street, and part of Front Road East. (Photo : FIle photo)

Le conseiller Ian Walker a obtenu une réponse à sa question sur la procédure d’analyse de la qualité de l’eau dans le canton d’Alfred-Plantagenet.

Lors de la réunion du conseil du mois dernier, le conseiller Walker a demandé si l’Association pour la propreté de l’eau de l’Ontario (APEO) avait inclus le glyphosate et d’autres types de pesticides chimiques, ainsi que les microplastiques, dans la liste des contaminants potentiels lorsqu’elle a effectué ses tests réguliers de surveillance de la qualité de l’eau pour la municipalité. Le conseiller Walker a fait remarquer qu’au cours de son mandat, il avait reçu plusieurs questions de la part d’habitants de la région au sujet des analyses de la qualité de l’eau.

Les inspections de l’APEO portent principalement sur la présence d’E. coli ou d’autres bactéries pathogènes. Le personnel administratif a promis de vérifier auprès de l’APOE et de fournir un rapport lors de la première session du conseil.

Le directeur général Michel Potvin a indiqué au conseil, lors de sa réunion du 5 septembre, que l’APEO vérifie chaque année la présence de glyphosate, dans le cadre de la réglementation environnementale provinciale relative à la qualité de l’eau. «L’APEO ne vérifie pas la présence de microplastiques, a-t-il dit, mais elle vérifie la présence de benzène, un sous-produit chimique qui résulte de la décomposition du plastique, dans le cadre de son processus de décomposition chimique. Les tests de l’APEO ne détectent la présence d’aucun de ces matériaux en quantité susceptible de poser un risque pour la santé publique.»

Le conseiller Walker s’est interrogé : «Sommes-nous donc dans les limites du chiffre magique ?»

«Pour tous les composés organiques et inorganiques, a répondu M. Potvin, nous sommes en dessous de la limite de détection.»

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