Au cours de la dernière année, le CSEPR a soutenu plus de 12 000 personnes dans leur recherche d’emploi ou dans leur retour aux études. Le centre a également prêté du matériel informatique à 84 personnes pour les aider dans leur démarche. Le centre a aussi investi 14 000$ pour soutenir ses clients dans leur recherche d’emploi et assurer le suivi de leurs dossiers afin de les épauler dans le maintien de leur emploi.
En tout, 88 jeunes ont été appuyés grâce aux programmes de soutien aux jeunes. 172 jeunes ont reçu du soutien en emploi dans les écoles. 36 000$ investi auprès de cette clientèle pour assurer le suivi des dossiers. De plus, 11 lauréats de la bourse Relève emploi ont reçu un soutien financier de l’organisme, pour un total de 55 000$ en bourses d’études décernées.
Le travail du CSEPR a un impact important auprès des nouveaux arrivants en recherche d’emploi: 105 personnes ont été soutenues par le centre dans leur recherche d’emploi et dans leur intégration au sein de leur société d’accueil; 21 ateliers et activités spéciales ont été organisés par le centre auxquels 176 personnes ont participé; et 16 clubs de devoir pour jeunes immigrants ont été mis en place.
Le CSEPR a également participé à la formation de la main d’œuvre dans plusieurs domaine, dont en éducation à la petite enfance, en agriculture, dans le domaine des services de soutien personnel, en initiation aux métiers industriels et en opération de véhicules lourds.
Le CSEPR a aussi participé aussi à la formation de 129 employeurs et assure du soutien au recrutement pour plus de 655 entreprises. Il offre aussi un service de soutien en perfectionnement de la main-d’œuvre en milieu de travail. 17 entreprises ont bénéficiées du programme et 45 employés ont été formés dans le cadre de celui-ci, ce qui représente un investissement total de 169 000$. Le CSEPR offre également un soutien pour la formation des employés nouvellement embauchés, ce qui représente un investissement de 359 000$.
Afin de mesurer son impact dans la région, le CSEPR a évalué 5 indicateurs de performance en effectuant un sondage auprès de sa clientèle. Ces indicateurs de performance sont le réseau de contact du client, sa situation personnelle, ses compétences personnelles, sa situation et ses compétences professionnelles, et ses compétences en employabilité.
93% des répondants affirment que leur réseau de contact s’est élargi grâce au soutien qui leur a été fourni par le CSEPR; 74% des répondants affirment que leur situation personnelle s’est améliorée après avoir reçu l’aide du centre; 75% des répondants affirment que leurs compétences personnelles se sont améliorées grâce aux conseils des intervenants; 79% des répondants affirment que leur situation sur le marché du travail et leurs compétences professionnelles se sont améliorées grâce à la formation qu’ils ont reçu au CSEPR; et 98% des répondants affirment que leurs compétences en employabilité se sont améliorées.
On peut maintenant obtenir du counseling en emploi virtuel, ou même se voir prêter un ordinateur portable et une clé internet pour faire sa recherche d’emploi. En partenariat avec différents acteurs communautaires, les jeunes peuvent se voir offrir du coaching en leadership, et des ateliers et stages rémunérés adaptés à leurs besoins. On offre aussi des primes de 1 000$ aux travailleurs de l’extérieur de Prescott-Russell qui acceptent un poste dans la région. Une multitude de formations et d’ateliers sont offerts pour toutes les clientèles afin d’aider au développement des compétences, mais aussi à l’intégration des personnes dans des métiers en demande.»
Selon la directrice général du CSEPR, l’impact du centre sur la région de Prescott-Russell a augmenté au cours de la dernière année, mais la pandémie a eu un effet refroidissant sur la recherche d’emploi, ce qui contribue à exacerber la pénurie de main d’œuvre dans la région : «On voit que l’impact du CSRPR dans la communauté augmente, on continue de diversifier nos opérations, mais la pandémie nous a grandement affecté. On fonctionne actuellement à environ 50 % de l’achalandage habituel. Mais ça fait partie des défis de la pandémie et on doit s’ajuster comme tout le monde.»