Les négociations dans le secteur public durent depuis 18 mois et, bien que la pandémie ait mis en lumière le sous-financement critique du réseau de la santé et des services sociaux, le gouvernement Legault n’a toujours pas signé les nouvelles conventions collectives. «Parce qu’être payées au féminin, c’est terminé!», a déclaré Julie Daignault, présidente du FIQ-Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides. Afin de rééquilibrer la situation, l’alliance APTS-FIQ revendique des augmentations de salaire de 12,4 % sur trois ans, dont 7,4 % en rattrapage salarial.
Non, aux salaires au féminin
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