le Dimanche 26 mars 2023

The temporary suspension, which began before the Christmas holiday season, was scheduled to end on February 12. However, the United Counties of Prescott-Russel (UCPR) had to extend the suspension of service to address labour issues.

The labour shortage is in the customer service area. PR Transpo is an on-demand service. Riders must call or book online on the Blaise Transit app. All requests are handled by PRTC customer service.

According to Olivier Berthiaume, UCPR senior advisor and communications coordinator, PR Transpo is expected to hire two customer service representatives.

UCPR staff are looking at ways to improve the performance and efficiency of the rural public transit n system, including processing requests without going through customer service.

« The suspension of PR Transpo is far from ideal and has a significant impact on the users of the service who must use alternative means of transportation, » said UCPR Warden Normand Riopel. « However, as a regional government, we have a responsibility to ensure the efficient and responsible delivery of all municipal services. In this case, a pause is necessary to resolve operational issues that prevent us from delivering the service properly.

PR Transpo is a pilot project that was launched by the UCPR in 2018 with financial support from the Ontario Community Transportation Grant Program. While PR Transpo began as a traditional fixed-route service, users have had on-demand service since June 2021. To date, PR Transpo’s on-demand service has completed 6,167 trips and served 234 riders.

La suspension temporaire qui avait débuté avant la période des fêtes devait initialement prendre fin le 12 février. Cependant, les Comtés Unis de Prescott-Russel (CUPR) ont dû prolonger la suspension du service pour pallier aux problèmes de main d’œuvre.

Le manque de main d’œuvre se trouve au niveau du service à la clientèle. PR Transpo est un service sur demande. Les usagers doivent appeler ou réserver en ligne sur l’application Blaise Transit. Toutes les demandes sont traitées par le service à la clientèle des CUPR.

D’après Olivier Berthiaume, conseiller principal et coordonnateur des communications des CUPR, PR Transpo devrait faire l’embauche de deux représentant au service à la clientèle.

Les Comtés-Unis étudient d’ailleurs différentes avenues visant à améliorer le rendement et l’efficience du réseau de transport rural, notamment pour traiter les demandes sans passer par le service à la clientèle.

« La suspension de PR Transpo est loin d’être une situation idéale et a un impact important sur les usagers du service qui doivent avoir recours à des moyens de transport alternatifs », a expliqué le président du Conseil, M. Normand Riopel. « Cependant, en tant que gouvernement régional, nous avons la responsabilité d’assurer la livraison efficace et responsable de l’ensemble des services municipaux. Dans ce cas-ci, une pause est nécessaire pour résoudre des problématiques opérationnelles qui nous empêchent de livrer adéquatement le service ».

PR Transpo est un projet pilote qui fut lancé par les Comtés unis de Prescott et Russell en 2018 grâce au soutien financier du Programme de subventions pour les transports communautaires. Bien qu’à ses débuts PR Transpo offrait un service traditionnel à routes fixes, les utilisateurs bénéficient d’un service à la demande depuis juin 2021. Jusqu’à présent, le service à la demande de PR Transpo a effectué 6 167 déplacements et a desservi 234 usagers.

Des pinces ont dû être utilisées pour sortir le conducteur du véhicule. Il a été transporté dans un centre hospitalier de Montréal en état critique. D’après la Sûreté du Québec, l’état du chauffeur s’est stabilisé. L’homme dans le camion a subi des blessures mineures.

La section bloquée de l’A-50 a réouvert vers midi.

À 7 h le 5 janvier, Environnement Canada a émis un avertissement de pluie verglaçante pour l’est de l’Ontario. La pluie de la veille s’est réduite à une bruine, qui persistera tout au long de la matinée, et la baisse des températures la gèle à mesure qu’elle tombe. Les routes seront glacées jusqu’à ce que les températures remontent dans l’après-midi.

Dans tout l’Est-Ontarien, c’est autour de 4 500 usagers qui n’ont pas d’électricité. Hydro One planifie restaurer l’électricité pour tous les usagers avant midi, mais certaines complications pourraient rallonger l’attente.

Les personnes qui veulent rapporter une panne d’électricité peuvent le faire par téléphone au 1-800-434-1235 ou en ligne sur le site web d’Hydro One.

M Robert Lefebvre, maire de Hawkesbury, prononce un discours pour commémorer les victimes de violence faite aux femmes.

photo Antoine Messier

Le 6 décembre 1989, Marc Lépine entre dans l’école Polytechnique de Montréal, carabine en main. Il tue 14 femmes et en blesse 13 autres.

Le 6 décembre est depuis 1991 reconnu comme étant la journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. Cette journée sert non seulement aux Canadiens et Canadiennes de se recueillir et de se rappeler de la tragédie de décembre 1989, mais aussi réfléchir à l’étendue de la violence faite aux femmes aujourd’hui et d’en discuter.

Cérémonie

Monique Leduc et France Perreault, membres de la coalition de Prescott-Russell pour éliminer la violence faite aux femmes, ont animé une cérémonie pour commémorer les victimes de polytechnique, mais aussi toutes les autres victimes de violence physique, sexuelle et psychologique.

« Nous sommes ici pour celles qui ont été victimes de graves actions haineuses simplement parce qu’elles étaient des femmes, affirme M Lefebvre lors de la cérémonie. Nous sommes ici pour souligner que nous n’acceptons plus ce genre de comportement. Nous ne devrions pas avoir besoin d’être ici pour souligner la violence faite aux femmes. Le fait que nous le somme démontre à tous, à chacun des membres de notre collectivité à travers le Canada et le monde entier, que quelque chose ne fonctionne pas dans notre société. »

Après les discours des animatrices et du maire de Hawkesbury Robert Lefebvre, Mme Leduc et Mme Perrault ont récité les noms de toutes les victimes de la tuerie de Polytechnique et de toutes les femmes qui ont perdu la vie à cause de la violence faite aux femmes dans Prescott-Russell, des fleurs ont étés déposés par les membres de la communauté au pied de la plaque commémorative des femmes victimes de violence devant l’hôtel de ville.

Des cérémonies ont eu lieu au même moment dans les municipalités de Rockland et Casselman.

La Coalition

La Coalition de Prescott-Russell pour éliminer la violence faite aux femmes est un regroupement non incorporé sans but lucratif, d’organismes, de personnes de ressources et d’individus de la région de Prescott-Russell qui partagent l’objectif d’éliminer la violence faite aux femmes dans notre communauté.

« Les organismes qui œuvrent dans Prescott-Russell sont rassemblés autour d’une table, explique Sylvie Gravel, membre de la coalition, et c’est avec ça qu’on fait des plans d’action, de la sensibilisation, de l’éducation et de la prévention en matière de violence faite aux femmes. »

La coalition soutient les 12 organismes membres dans l’organisation de leurs événements de sensibilisation et d’éducation.

The migration will result in all of Champlain’s technological tools being inaccessible, including accounting and tax software, email and the internet.

For any questions regarding tax or water/sewer account, residents will need a copy of a recent bill or account/roll number ready.

For non immediate matters, all of Champlain’s services will be restored by Monday at noon. The municipalities core services are still available, and staff can be reached by phone or in person.

« Ça fait longtemps qu’on discute de la pénurie de main-d’œuvre et de logement et de leur impact sur le développement économique, a affirmé Mario Zanth, maire de Clarence Rockland. Ça fait longtemps qu’on m’en parle et enfin, d’avoir un rapport, c’est ce dont on avait besoin. Ceci nous donne vraiment un outil pour être capable de travailler ensemble. »

L’enquête, menée entre juin et août 2022, s’est fait par l’envoi de courriels massifs, de lettres par la poste et d’appels téléphoniques. Des 2 317 entreprises avec plus d’un employé, répertoriées dans Prescott-Russell, 750 ont entamé le sondage et 360 l’ont complété, soit 16% des entreprises sondées. Des courriels de suivis ont été envoyés à des entreprises ciblées pour leur importance.

Les résultats publiés sont des estimations basées sur des calculs statistiques, fait après la compilation des donnés du sondage. Bien que les résultats soient fiables, les estimations peuvent varier dans leur précision. Vu le taux de réponse relativement faible, il n’a pas été concevable de faire des estimations fiables par secteur d’activité industriel.

Dans Prescott-Russell, l’enquête estime qu’il y a plus de 3 670 postes vacants, et environ 21 251 personnes travaillant dans une entreprise locale. Environ 2 855 postes à combler sont des postes à temps plein, et 815 sont des postes à temps partiel.

Au moins 1 318 des postes à combler se trouvent dans la tranche salariale entre 15$ et 18$ l’heure, tandis que 1 537 se trouvent dans la tranche entre 19$ et 26$ l’heure. Dans la tranche salariale entre 27$ à 34$ l’heure, on retrouve 478 postes vacants, et 337 postes offrent un salaire au-dessus de 35$ l’heure.

Plus de 50% des entreprises ayant répondu au sondage avait un ou des postes à combler au 1er juin 2022. De ceux-ci, 78% étaient des postes à temps plein et 42% étaient des postes affichés depuis 3 mois.

Le sondage a été structuré pour qu’il puisse être reproduit dans le futur, pour mesurer l’efficacité des solutions. Le CSEPR a déboursé 20 000$ pour que l’enquête soit menée par Statistique Canada.

Solutions

Le but de l’enquête est de développer un plan d’action ciblé pour remédier à la pénurie de main-d’œuvre, particulièrement pour déterminer le nombre de logements qui manquent dans chaque municipalité afin de pouvoir loger les travailleurs requis et leur famille.

Bien que d’autres solutions aient été proposées, comme le maintien des travailleurs expérimentés sur le marché du travail, le virage numérique, l’automatisation et la formation en entreprise, l’enquête révèle que la pénurie de main-d’œuvre est directement liée au manque de logement abordable. « On doit attirer des travailleurs de l’extérieur des Comtés unis pour pourvoir les postes vacants », a déclaré Benjamin Bercier, anciennement de la municipalité de La Nation.

Le taux de chômage dans l’Est ontarien est de 4,9%, d’après le dernier recensement, et aussi bas que 3% dans certaines municipalités de Prescott-Russell. « La plupart de ceux qui peuvent travailler sont déjà à l’emploi, a expliqué Caroline Arcand, directrice générale du CSEPR. Même ceux qui ont moins d’intérêt pour travailler, si on leur donnait un emploi, il y a 50% des 3 600 postes qui ne seraient pas combler. »

D’après Mme Arcand, la région de Prescott-Russell aurait besoin d’au moins 2 500 nouveaux logements pour accueillir des nouveaux travailleurs et leurs familles.

Normand Riopel, maire de Champlain, propose comme solution possible la construction de mini maisons. « Acheter une maison à 400 000$, un jeune de 22-23 ans n’est pas capable, a-t-il affirmé. » Il veut, de cette façon, rendre l’accès à la propriété plus abordable pour les plus jeunes, et offrir des plus petits logements aux personnes âgées qui ne sont pas toujours en mesure d’entretenir une plus grande maison.

Les coopératives d’habitation ont aussi été proposées comme solution possible au manque de logement abordable. Ces coopératives sont des organismes à but non-lucratif, offrant habituellement des loyers plus modestes que les logements habituels. Néanmoins, ces organismes doivent obtenir du financement pour la réalisation de leur projet.

« Ce qu’on essaie de faire c’est de favoriser le développement de logements plutôt abordables, a  expliqué Pascal Billard, de la coopérative HabitAction. Quand on dit logement abordable, on doit se tourner davantage vers la coopérative d’habitation. Il y en a très peu dans la région. » Il y a seulement une coopérative d’habitation dans la région de Prescott-Russell, à Rockland.

Le premier accident impliquant 6 véhicules près de Grenville-sur-la-Rouge est survenu à 7h30 et a causé la fermeture de l’autoroute sur deux voies. Deux personnes ont été transportées par mesure préventive à l’hôpital avec des blessures mineures.

Une seule semi-remorque a été impliquée dans le second accident survenu un peu plus tard, vers 10h. L’accident a causé la fermeture de l’A-50 vers l’Ouest entre la rue Bethany et la route 327.

Tous les véhicules au Québec doivent être équipés de pneus d’hiver entre le 1er décembre et le 15 mars. Toutefois, il est recommandé aux automobilistes de poser leurs pneus d’hiver le plus rapidement, car les mauvaises conditions météorologiques peuvent débuter dès novembre.

Les Dynamos de l’ESCC ont remporté la demi-finale en deux manches face aux Panthères de l’École secondaire catholique de Plantagenet (ESCP) avant de remporté la finale en deux manches face aux Cougars de l’École secondaire catholique l’Escale.

« C’est une équipe avec beaucoup de potentiel mais je me demandais si on allait pouvoir faire ressortir ce potentiel là dans la saison qui est quand même courte. » affirme l’entraineur de l’ESCC Denis Séguin. « J’était vraiment satisfait de voir leur progression et voir où ils se sont rendus. Ils ont vraiment bien joué. »

Les Jaguars de l’École secondaire publique Le Sommet se sont aussi qualifiés pour le tournoi EOSSAA dans la catégorie A pour petites écoles. Les Jaguars ont perdu en demi-finale dans un match serré de trois manches face aux Cougars de l’Escale puis ont remporté le match pour la troisième position face aux Panthères de l’ESCP.

« Je suis très satisfaite et heureuse qu’on ait pu se qualifier pour EOSSAA. » affirme Melissa Mulder, entraineur des Jaguars. « Les gars ont très bien joué, c’était très fort et ils méritent vraiment d’y aller. »

Les écoles qui gagnent le tournoi EOSSAA se qualifient pour le tournoi provincial OFSAA dans leurs catégories respectives.

Les Jaguars ont perdu en demi-finale dans un match serré de trois manches face aux Cougars de l’École secondaire catholique l’Escale puis ont remporté le match pour la troisième position face aux Panthères de l’ESCP.

« Je suis très satisfaite et heureuse qu’on ait pu se qualifier pour EOSSAA. » affirme Melissa Mulder, entraineur des Jaguars. « Les gars ont très bien joué, c’était très fort et ils méritent vraiment d’y aller. »

C’est l’École secondaire catholique de Casselman (ESCC) qui a remporté le championnat de volleyball de Prescott-Russell et se qualifie pour EOSSAA dans la catégorie AA pour grandes écoles

Les Dynamos de l’ESCC ont remporté la demi-finale en deux manches face aux Panthères de l’École secondaire catholique de Plantagenet (ESCP) avant de remporter la finale en deux manches face aux Cougars de l’Escale.

« C’est une équipe avec beaucoup de potentiel mais je me demandais si on allait pouvoir faire ressortir ce potentiel-là dans la saison qui est quand même courte. » affirme l’entraineur de l’ESCC Denis Séguin. « J’étais vraiment satisfait de voir leur progression et voir où ils se sont rendus. Ils ont vraiment bien joué. »

Les écoles qui gagnent le tournoi EOSSAA se qualifient pour le tournoi provincial OFSAA dans leurs catégories respectives.